Dans « l’univers surréaliste », l’œuvre n’existe que par le regard du spectateur, à la rencontre des différents éléments qui la compose et s’amalgame. Souvent, je transforme un objet qui me plaît en remplaçant une partie existante par de la pâte de cristal bleue, créant un objet « poétique et absurde », dont le thème est notre fragilité.
Là, je rajoute un élément nouveau : ce doigt qui sort de l’écouteur du téléphone. 
C’est du désordre du surréalisme et également conceptuel que le titre fasse parti de l’œuvre : « Ta voix me chatouillait agréablement l’oreille »

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