L’idée d’allier beauté et fragilité m’est venu à un moment où j’ai pris conscience de notre fragilité et de l’importance de mettre en avant nos sensibilités.
Le choix de la pâte de verre et ce bleu de cuivre, intense et lumineux, associé à des matériaux solides permettait d’explorer ce chemin.
Je suis resté fidèle au bleu mais avec un bleu de Prusse cette fois-ci, couleur des cyanotypes.
J’ai d’abord travaillé à partir d’objets translucides que j’avais réalisé en pâte de verre, qui sont ainsi révélés dans leur fragilité, par la délicatesse de l'empreinte dû à la technique.